Vous recherchez un avocat pour une erreur médicale à Alès  ? Vous avez rencontré des déboires concernant votre état de santé ? Si vous avez été victime d’un traumatisme où votre physique s’est dégradé. Vous avez malheureusement eu besoin de consulter un praticien qui vous a préconisé une intervention.

Toutefois, rien ne s’est passé correctement et vous vous portez plus mal qu’avant l’intervention. L’acte médical du chirurgien a été manqué ou les complications vont bien au-delà de la normale.

En effet, il arrive que le praticien de santé commette une maladresse ou rencontre des difficultés non maîtrisées lors de l’intervention pratiquée. Il est aussi fréquent que ce soit la pose de matériel qui soit mal exécutée.

Dans certains cas, c’est l’acte d’anesthésie qui s’avère problématique.

Après l’intervention médicale, vous avez d’importantes séquelles qui ne devraient pas être présentes et qui persistes.

Il est important de rencontrer votre Avocat  pour une erreur médicale à Alès

Ce dernier vous apportera son analyse juridique sur la situation.

Au sein de notre cabinet, nous avons accompagné de nombreux patients victimes d’une maladresse, mais également de négligences médicales et même d’un aléa thérapeutique.

Récemment nous avons reçu à notre cabinet sur Nîmes une patiente victime d’une erreur médicale à Alès.

Le cas de la paralysie partielle suite à accident de rachi-anesthésie à Alès

Nous avons assisté cette cliente qui avait été victime d’une fracture des deux rotules.

Après ostéosynthèse, une intervention chirurgicale par immobilisation passive avec en post opératoire port d’atèle de zimmer du côté droit était envisagé. La cliente a accepté cette intervention par rachi-anesthésie. Mais, quelques heures après l’opération, la patiente souffre de troubles neurologiques post rachi-anesthésie.

En postopératoire, la cliente n’a pas récupéré sa sensibilité. Des troubles moteurs au niveau des membres inférieurs droit et gauche sans récupération ad integrum sont apparus.

La découverte de l’acte créant le préjudice et la responsabilité qui en découle

Devant la persistance des symptômes, un IRM du rachis lombaire a été réalisé qui met en évidence un spondylolisthésis stade 2 pouvant empêcher l’évacuation du produit anesthésie. Il est indiqué dans le compte rendu opératoire qu’il s’agit d’une complication très rare de l’anesthésie rachidienne.

Elle a alors été transférée à dans un centre de rééducation hospitalière afin que lui soit prodigué des soins et une rééducation.

La cliente a perdu sa motricité. Sa mobilité a disparu durant de très longs mois.

Ce n’est qu’après une rééducation intensive que la cliente a repris une très faible mobilité mais jamais la marche complète.

Il est incontestable que la patiente a subi un préjudice suite à l’acte médical.

Le lien de causalité est également irréfutable.

Il s’agira alors dans ce cas de caractériser si l’acte médical ayant engendré le dommage s’analyse en une faute médicale ou bien si au contraire, il s’analyse en un aléa thérapeutique ouvrant droit à une responsabilité sans faute.

La recherche des fautes au cours de la prestation des soins par votre avocat

Dans la pratique de leur art, les professionnels de santé sont susceptibles de commettre diverses fautes conformément à l’article L.1142-1 du Code de la santé publique.

Ces dispositions de la loi n°2002-303 du 4 mars 2002 on changé le droit de la responsabilité médicale. Depuis, cette loi a complété efficacement les règles de la responsabilité civile classique pour protéger les victimes d’acte médical.

Dans le cadre de son diagnostic, le praticien de santé doit mettre en évidence l’existence d’une maladie ou d’un état antérieur sensible. Il doit sélectionner le recours à divers actes de soins. Il doit en assurer la mise en œuvre. En dépit de la part d’aléa propre à tout acte médical ou chirurgical, la moindre maladresse au cours de la réalisation technique est imputable au médecin.

Elles sont généralement constitutives de lésions graves qui auraient pu être évitées.

A l’analyse du dossier médical, les maladresses et imprudences ont été retenues : Après un long combat nous avons pu faire indemniser cette victime d’une erreur médicale à Alès.

En effet, la compagnie d’assurance du médecin a été condamnée et cette victime a pu bénéficier de nombreux aménagements. Elle a été indemnisée à hauteur de 80.000 euros, ce qui est une somme non négligeable.

Sans l’intervention d’un avocat pour une erreur médicale, cette victime n’aurait pas bénéficier d’une somme si importante.